État du projet

Poursuite des études d’impacts sur la faune et la flore!

Les études d’impact sur la faune et la flore continuent!

Basée à Riom, la société Crexeco a démarré ses études le 12 décembre 2019. Ce travail d’analyse dure environ un an.

Les écologues ont déjà commencé les premiers inventaires courant décembre. En janvier, ils ont fait plusieurs passages sur les sites des Girouettes et des Côtes, afin de réaliser un bilan des observations en période hivernale. D’autres passages sont prévus pour le printemps.

Les impacts sur la biodiversité sont étudiés, comme l’impose la loi, lors d’une étude d’impact préalable à toute installation.

Pour cela, le cabinet d’étude travaille durant plusieurs mois:

– sur les zones d’implantations potentielles,

–  dans un périmètre d’une vingtaine de kilomètres aux alentours.

Ces sont des écologues, des géographes, des experts en ornithologie (étude des oiseaux), chiroptérologie (études des chauve-souris). Ils sont spécialisées dans les  études de la flore et faune terrestre.

Leurs travaux consistent notamment à faire l’inventaire des espèces qui utilisent le site d’étude:

  • comme habitat de nidification
  • ou comme corridor de déplacement durant la migration.

Ils installent des capteurs (micros) sur le mat de mesure, aux Girouettes, à différentes hauteurs. Ils peuvent ainsi obtenir une écoute en continu dans la zone potentielle d’implantation.

Sur un périmètre plus large, ils étudient la faune aérienne et terrestre. Ils réalisent des visites planifiées, de jour comme de nuit, durant des périodes propres au périodes de reproduction et/ou de migration des différentes espèces:

  • Ils écoutent par exemple les chauve-souris,
  • Ils observent directement les rapaces et oiseaux nocturnes,
  • Ils analysent également la présence et la population de mammifères, reptiles, amphibiens,  et invertébrés non volants.

Finalement, et en fonctions des impacts potentiels détectés, le cabinet d’étude nous fournira des propositions pour les éviter, les réduire ou les compenser.

Cela permettra à Montcel-Durable de choisir plus précisément les sites d’implantation, avec impact minimal.  

L’association se réserve la possibilité, en cas d’impact trop grand sur une zone donnée, de renoncer à l’implantation.

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